Ode à Kerkennah

Publié le par Mahmoud Chihaoui

Humble et solitaire,ceint

Par les vapeurs azurées

De l’Ile aux saints ;

Lointaines contrées ;

Où l’onde, timide, recule

Devant le cœur amoureux

Et l’âme, timorée, bascule

Dans l’Abîme vertigineux.

Kyranys belle enchanteresse

Tes rives à toi me rivent

Cercina divine déesse

Mes pensées vers toi dérivent.

Kerkennah danseuse pudique,

Je brave Neptune et Eole,

Dieux obscurs et iniques,

Qui t’adorent telle une idole.

Décembre 2013

Publié dans poésie

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