Ode à Kerkennah
Humble et solitaire,ceint
Par les vapeurs azurées
De l’Ile aux saints ;
Lointaines contrées ;
Où l’onde, timide, recule
Devant le cœur amoureux
Et l’âme, timorée, bascule
Dans l’Abîme vertigineux.
Kyranys belle enchanteresse
Tes rives à toi me rivent
Cercina divine déesse
Mes pensées vers toi dérivent.
Kerkennah danseuse pudique,
Je brave Neptune et Eole,
Dieux obscurs et iniques,
Qui t’adorent telle une idole.
Décembre 2013