poesie

Face à l'onde déchaînée, À la terre enchaînée Ma farouche volonté, jamais ne tombe Jamais ne succombe, De cette énorme déferlante Entêtée, Farouche, obsédante Les vagues gigantesques, Contre ma volonté titanesque En morceaux, se fracassent S'atténuent...

De ta silhouette Ciselée, Par la nature modelée, Rayonne l'Aura, D'un Etre majestueux Fier et impétueux

Mon corps est malade Mon cœur est maussade Mon esprit s'envole Comme une hyperbole Au-delà de l'attente Des battements qui mentent Qui entretiennent l'espoir D'un demain dérisoire Ou l'Etre se consume D'une gloire posthume Mon cœur se meurt Triste de...

Mon Tout, Envie tout A mon Rien, Qui n’a rien ! Aucun atout De mon Tout. Et mon Rien Se trouve bien Plus jaloux Que Mon Tout Histoires de liens Histoire de riens Du tout De Fous. Et ce vaurien Qui ne vaut rien De mon rien du tout Se fout De violer le...

Las, Las, là ! Las, au-delà ! Holà ! Voilà, Je suis là, Las du tralala Las d’être là Las d'être las. Las des combats Vains, Où tu ne vaincs, Ni convaincs. Las des Viens-là Des restes-là Des gares-à-toi Du gardes-toi Des postulats. Las des hors-la-loi...

Au dessus de la mêlée, Avec toute l’envergure De mes ailes déployées, Je dépasse la mesure Démesure de l’Ego Humilité de l’Etre Différents et égaux Paradigme du Paraitre Paraitre vers les cimes, Au-delà les nuages, Je survole les abimes, Je traverse les...

Humble et solitaire,ceint Par les vapeurs azurées De l’Ile aux saints ; Lointaines contrées ; Où l’onde, timide, recule Devant le cœur amoureux Et l’âme, timorée, bascule Dans l’Abîme vertigineux. Kyranys belle enchanteresse Tes rives à toi me rivent...

Mon corps est malade Mon cœur est maussade Mon esprit s'envole Comme une hyperbole Au-delà de l'attente Des battements qui mentent Qui entretiennent l'espoir D'un demain dérisoire Ou l'Etre se consume D'une gloire posthume Mon cœur se meurt Triste de...

Je voudrai … si je mourais, ...que vous écriviez... Sur mon beau... Tombeau, ....un seul mot... Tout simplement... Joliment : ...Impénitent… Novembre 1994

Homme seul si tu savais comme je t’envie, Tu as choisi la plus douce des galantes ; Loup solitaire loin de ce monde en furie Tu règnes avec ta splendide amante Je t’aime solitude comme Jamais ne t’as aimé un homme Ephémère telle une jouissance charnelle...